Attention, il ne faut surtout pas court-circuiter le BSM. Un BSM, c'est un ensemble de relais et de smart-power (Semiconducteurs de commutation) qui alimente tout un tas de circuit, en fonction des commandes reçues du BSI.
Exemple, sur l'auto de Claude : Il appuie sur le bouton de klaxon, le BSI reçoit la demande conducteur via le mux et renvoie une commande mux d'actionnement au BSM, le BSM l'exécute et alimente l'avertisseur.
Le Lexia nous a d'ailleurs permis de voir que la partie mux du BSM était vivante, en envoyant une demande d'actionnement avertisseur.
Le BSM gère la puissance sous capot et active des fonctions sur demande du BSI. C'est lui qui maintient les phares allumés, quand on quitte le véhicule ou quand on le déverrouille.
Et c'est le BSM qui distribue le +APC, sur demande du BSI. D'ailleurs, ce +APC est établi sur demande de l'antivol, mais pas que ! Le BSI établit et maintient le +APC dans certaines situations de vie, même si la clé n'est pas dans l'antivol.
Donc, quand on bricole là-dessus, il faut avant tout avoir les schémas détaillés et savoir comment cela fonctionne, avant de bidouiller.
@Damien : L'électronique est fabriquée par de grands équipementiers, comme Bosch, Delphi ou Valeo.